Take Shelter

C'est pas non plus prohibé d'aller voir les deux .

Pardonnez-les Seigneur pour leurs blasphème

Je suis on-ne-peut-plus sérieux!

Je suis face à un véritable mystère, due à l'engouement des gens face à ce film!
JE NE COMPRENDS PAS!!

Signe, c'est tellement mieux!
The tree of life, c'est à des années-lumières!

Franchement vous ne vous êtes pas fait un peu chier devant ce film?

Chier ? ah bien ouais, et pas mal en plus

Ah non, pas une seule seconde, j'ai été scotché de la première à la dernière seconde du film !

Et je comprends pourquoi on aurait envie de le comparer à Signes, mais 1) Signes était pas gégé (et c'est un défenseur de Shyamalan qui dit ça ) et 2) les deux traitent pas vraiment du même sujet : Shyamalan voulait montrer la perte de foi de quelqu'un qui voit le monde autour de lui devenir fou, tandis qu'ici c'est un personnage en passe de devenir fou qui s'inquiète tandis que le monde ne change absolument pas autour de lui. D'autant plus que dans Take Shelter, y a tout l'aspect réaliste et social (qui participe par ailleurs pleinement à la montée de l'angoisse) qui magnifie le film un peu plus encore (ou qui le rend chiant, au choix).

Et puis Jessica Chastain quoi, bordel de Dieu .

+1 asb

Et Chastain

De mon côté les deux heures sont passées plutôt vite donc franchement je ne le trouve pas chiant du tout, le déroulement est lent certe mais pas ennuyeux.

Ya des films lent que je peux ne pas trouver chiant, comme les Jarmush ou certains Kurosawa, parcequ'ils sont formellement magnifiques.
Ici, dès le premier plan, j'ai trouvé ça foireux, avec la pluie marron et la musique.

Sinon pourquoi le comparer à Signes?
Parcequ'ils ont tous les deux la forme d'un film fantastique. Seulement Signes en est véritablement un, tandis que take shelter prétend en être un pour se réveler n'être qu'un film psychologisant.

Take Shelter n'est pas un film fantastique donc tu as raison, ce n'est qu'un film psychologique mais tu as également tort car il ne prétend rien de plus.

Si, par sa forme on s'attend à l'incursion du fantastique à un moment donné, or ce moment n'arrive jamais, d'où en partie mon extrême déception.