L'Aurore

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Commentaires
28/10/2010 08:41:32
Je crois que je peux pas vivre sans ce film :bave:

:hap:
07/12/2010 09:54:28
C'était l'horreur pour toi goldi ? :hap:

Lol
07/12/2010 09:59:01
:rire: ça n'a pas tardé !!

Non pas l'horreur mais voilà ..

Je ne suis pas contre les films qui basculent d'un genre à l'autre, au contraire, mais là j'ai trouvé ça franchement exagéré. Autant le côté dramatique m'a plu, mais les passages romanesques non, j'ai pas adhéré.

De plus, je n'ai jamais retrouvé l'empreinte de Murnau, certaines scènes apparaissent même très fleur bleue.

D'ailleurs, je me demande ce que viens faire le tag expressionnisme allemand ici ...

L'ambiance sonore m'a également chagriné, très (trop ?) démonstrative pour appuyé son propos, m'empêchant d'éprouver quoi que ce soit.

J'ai passé presque autant de temps à regarder l'heure que le film et quand il en est ainsi, c'est que je me suis ennuyé.

C'est dommage car la photographie est très belle et vu les notes, j'en attendais peut-être beaucoup plus. :(
28/12/2010 08:15:57
Tu n'as pas été bercé par la grâce du film? :snif:
Puis niveau mise en scène ça déboîte aussi :hap:
01/01/2011 10:20:20
chaud :noel: revoyez le film m*rde!!! :snif:
12/01/2011 09:59:57
L'Aurore c'est de l'expressionnisme !!!!
vous l'avez enlevé le tag ? alala :(

a lire cet extrait pour ce que on rien compris au film:


"Le véritable expressionnisme ?
On le sait, Murnau était considéré comme l'une des figures majeures de l'expressionnisme, dont le principe même était de matérialiser graphiquement et symboliquement l'humeur des protagonistes, ou de souligner le caractère particulier de certaines situations. Pourtant, l'expressionnisme de Murnau n'était pas celui d'un Robert Wiene. Nosferatu, par exemple, utilise pour une grande part des décors naturels, dont Murnau exploite avec génie l'étrangeté, sans qu'aucun artifice ostensible ne vienne appuyer celle-ci. Dans L'Aurore, de fait, seule la fameuse scène de l'étreinte en pleine rue pourrait être considérée comme « expressionniste » dans son sens couramment accepté. Au chahut et à l'hostilité de la ville se substitue momentanément une sorte d'Eden que les deux époux traversent en confiance, serrés l'un contre l'autre. Et quand ils reviennent à eux, le monde s'est figé autour d'eux, hostile mais désormais incapable de les atteindre. Cette scène sublime succède cependant à une autre séquence qui ne doit sa beauté à aucun procédé technique. On y voit l'Homme et la Femme se réfugier dans une église où a lieu un mariage, s'y réconcilier, et en sortir peu de temps avant les mariés eux-mêmes, surprenant ainsi la foule qui s'était amassée sur le parvis. Pouvait-on imaginer plus belle image pour suggérer ce nouveau départ ? L'enchaînement de ces deux séquences renvoie forcément à une imagerie biblique, mais il s'agit davantage d'un clin d'oeil à une « autre » histoire universelle que d'un pesant sermon chrétien. Murnau suggère ici que pomme et serpent ou pas, l'Eden peut ressurgir de la simple confiance en son prochain. Le Paradis n'est pas perdu pour toujours : on en oublie seulement le chemin. Et l'absolution ne vient que des hommes eux-mêmes, pas d'une force extérieure.
Toujours sans que l'on puisse parler à proprement parler d'expressionnisme dans le sens où on l'entend généralement, c'est à dire dans son aspect le plus graphiquement explicite, Murnau s'applique à ce que l'environnement direct de ses protagonistes, dans le deuxième tiers du film, en vienne à refléter l'évolution de leur état d'esprit. Aux grimaces succèdent les sourires, aux rues bondées des lieux ouverts. On notera d'ailleurs que c'est sur une dichotomie spatiale plutôt que lumineuse (blanc / noir) que s'appuie le plus souvent Murnau pour suggérer cette idée : le point culminant de ce bonheur retrouvé, c'est une fête foraine et un bal nocturnes, alors que la journée a (mal) commencé en pleine lumière. La désopilante scène du petit goret qui sème la panique dans le bal fait la part belle aux jeux d'ombres, mais on est très loin de la silhouette lugubre de Max Schreck ; il s'agirait presque d'un pied-de-nez. Alors, expressionniste ou pas, L'Aurore ? Non, au sens Caligarien du terme. Oui, mille fois oui, si l'on s'en tient à l'étymologie du mot."


lien : http://www.culturopoing.com/Cinema/F+W+Murnau+L+Aurore+-3616

Je ne peut pas mieux dire! Excellent avis au passages.
bande de nul! :hap:
12/01/2011 11:46:20
Non, c'est tres bien comme ca!
Et puis le tag s'appele "expressionisme ALLEMAND", alors ce film n'a rien a y faire...
12/01/2011 12:08:42
Mais dans sa conception c'est un pur film allemand hein ... et puis on peut enlever le mot allemand.
justement L'expressionnisme allemand est trop fermé ... seul Caligari doit y figuré normalement. Je trouve ça idiot :hap:

Et puis Caligari n'est pas le définition de l'expressionnisme, c'est beaucoup plus vague!
12/01/2011 13:21:03
Je ne comprend pas bien pourquoi il n'y a pas un tag "expressionnisme" tout court, les autres pays ne le méritent pas ? :hap:
12/01/2011 13:41:23
je suis pour :hap: