C'etait en ete.
Et oui c'est hallucinant, de souvenir le prologue et le debut de l'histoire sont un petit peu longs mais apres c'est juste electrisant de bout en bout. Je l'ai pas relu depuis 2014 ; je vais m'attaquer bientot a Perfidia et American Tabloid du meme auteur ; mais c'est pas l'envie qui manque!
Si je confonds pas de bouquin le prologue de celui-là est assez hallucinant, ça met dans l'ambiance direct !
Bon il est vrai que je l'ai lu en anglais mais les 600 pages du poche étaient imprimées assez petit de mémoire, donc facilement plus qu'une minute par page (et je pense lire assez vite).
Oui, le prologue est mortel ; mais comme souvent dans ce genre de bouquins, le prologue envoie la baffe direct et ca met une centaine de pages a redemarrer... C'est pas un probleme en soit mais je remarque qu'en general ce qu'il me prend le plus long a lire se trouve souvent dans les 100 ou 200 premieres pages (Deadhouse Gates d'Erikson recemment par exemple ; un mois pour les 250 premieres pages et les 750 autres en une semaine ^^)
Alors ça c'est du polar avec une ambiance et un casting de malade me concernant même la présence de Ron Rifkin que je connais plutôt via la télévision me touche (d'ailleurs ça fait du bien de le voir malmener un peu).
Ils sont tous sublimes dans leur jeu, je ne vois rien à reprocher même Crowe arrive à être flippant dans certains moments de colère de son personnage (celle des chiottes !).
En parcourant les commentaires je suis d'accord avec Tchitchoball sur le petit emballement de l'enquête mais dans l'ensemble c'est d'une redoutable efficacité (malgré que j'ai grillé certains éléments scénaristiques), même le montage m'a tapé dans l’œil notamment la partie climax qui est d'assez bonne facture dans sa retranscription de la violence et énergie de l'action, je comprends sa victoire en meilleur montage.
Ce con de DeVito m'a fait rire comme un con pendant deux séquences particulières en voix off de présentation de personnages, cette chute