Le cinéma japonais des années 20 je connais quasiment pas mais sur la trentaine de films japonais des années 30 que j'ai vu, seulement 2 avaient du benshi et dans ces deux cas, il y a avait des intertitres ce qui laisse supposer que le l'industrie s'était déjà affranchi de ce code.
Quant à l'intérêt du benshi en lui-même, la première ça m'a laissé un peu de côté (Le fil blanc de la cascade) et la deuxième fois j'ai adoré (La cigogne de papier).
Le cinéma japonais des années 20 je connais quasiment pas mais sur la trentaine de films japonais des années 30 que j'ai vu, seulement 2 avaient du benshi et dans ces deux cas, il y a avait des intertitres ce qui laisse supposer que le l'industrie s'était déjà affranchi de ce code.
Quant à l'intérêt du benshi en lui-même, la première ça m'a laissé un peu de côté (Le fil blanc de la cascade) et la deuxième fois j'ai adoré (La cigogne de papier).