Hal | 04/07/2012 14:40:38 |
Klael | 04/07/2012 17:32:10 |
Hal | 04/07/2012 22:34:29 |
Klael | 04/07/2012 23:27:52 |
banana | 11/05/2015 02:10:03 |
kaelin | 18/06/2017 01:01:32 |
Yayap | 29/07/2020 03:06:43 |
En effet c'est assez inégal, le format veut ça mais je suis d'autant plus déçu que j'avais globalement grandement préféré le deuxième volet
Mes deux courts préférés sont sans doute l'ouverture et le court de Yuasa. Sans doute parce que ce sont les deux seuls sans dialogues et qui utilisent vraiment le plein potentiel de l'animation à des fins purement sensorielles. Puis ça fait toujours plaisir de retrouver le trait de Yuasa et ses concepts perchés
Pour le reste, je suis plus mitigé. Le deuxième est assez classique et vaut surtout pour l'animation des combats et l'ode à l'imagination de l'enfance. Le troisième est intrigant par sa bizarrerie mais pour le coup l'animation m'a vraiment rebuté et j'ai eu du mal à m'impliquer dedans. Le 4e, mouais je voyais pas trop où ça voulait en venir, l'animation est quelconque et le design assez laid. Le 5e est le pire de tous : un monologue abscons ininterrompu, quel intérêt ?
Et celui de Watanabe m'a bien déçu, on retrouve son goût pour la mélancolie (et la musique !) mais j'ai trouvé ça tellement apathique dans l'expression, ça m'a limite plus fait penser à du Shinkai en début de carrière
Le bilan est assez faible, alors que pour Beyond j'avais aimé tous les courts sauf un il me semble, et que l'un d'entre eux était une sacrée claque sensorielle.
Message édité
Limit Cycle, une énorme déception, propose un questionnement assommant sur l'homme, la spiritualité, Dieu, la mort et l'identité sous forme d'un monologue de 20 minutes.
Doorbell pas extraordinaire et doté d'un design assez moche.
Mais les 5 autres sont de vrais trésors d'ingéniosité et de talent. On a droit à un court qui se rapproche énormément de l'univers de Cat Soup, un autre possédant un univers gothique qui ferait pâlir Burton de jalousie.
Les 2 premiers sont absolument fabuleux, oniriques et extravagants.
Et le dernier, lent et nostalgique, clôt magistralement Genius Party.