Absolument, on a beau connaître la fin, on en reste sans voix. d'autant + que dans mon cas, cela vient quelques jours seulement après vu Chernobyl, effectuant ainsi un grand écart entre ce que l'humanité peut réaliser de + vertigineux en matière d'exploration et/ou de destruction; comme dans sa faculté à repousser les limites connues, pour le meilleur et pour le pire.Message édité