La Faillite du Rêve Américain
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Films dénonçant le rêve américain


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Le Parrain
8.42
Moyenne
170
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Le Parrain est une saga, dans laquelle le rêve américain occupe une place centrale. On y voit au début une famille qui a réussit : amour, argent, célébrité, respect. Pourtant, on voit bien que derrière cela se cache quelque chose de pourri. Cette réussite est fondée sur le crime, l'égoïsme, l'absence de sentiment et d'amour. Et cette réussite n'empêche pas que tout se termine en pleurs et en sang, avec une flopée de cadavres. Cadavres morts pour le rêve américain...
Le Parrain II
8.34
Moyenne
148
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Ma note
Plus encore que le 1er, le Parrain 2 explore encore plus cette idée de rêve américain. Tout le film se fonde sur un contraste : Vito Corleone, qui réussit son rêve américain, presque dans les règles de l'art (mais dans le crime) vs. son fils Michael Corleone, qui réussit, mais en étant la dernière des crapules humaines. Au nom de cette réussite, il tue une série de personnes, dont son frère, et perd le soutien de sa propre famille, qui est en fait le bien le plus précieux.
Les Temps modernes
Charlie Chaplin - États-Unis  - 1936 - 87 min
8.17
Moyenne
135
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Une des oeuvres les plus profondes dans la dénonciation de ce mythe. Les deux protagonistes aspirent vraiment au bonheur. Ils rêvent de cette belle vie vantée dans les immenses super-marchés. Mais à chaque essai, c'est un échec encore et encore. Ce rêve semble inaccessible, mais finalement le bonheur est-il vraiment là où on le cherche? Peut-être pas, nos deux parias terminent sans rien du tout, sauf avec une belle chose : une histoire commune entre eux, et une relation.
O.J.: Made in America
Ezra Edelman - États-Unis  - 2016 - 467 min
8.1
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5
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Suggéré par tadanobu
L'Homme qui tua Liberty Valance
John Ford - États-Unis  - 1962 - 123 min
8.04
Moyenne
118
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Ma note
Encore un intéressant film qui pose la question de la mythomanie du rêve américain. Dans ce film, un homme réussit son rêve américain (qui y dépeint de la manière la plus classique possible : pour avoir une illustration du mythe, y a pas mieux). Ce qui est étrange, c'est que ce protagoniste est présenté comme bon et qu'il a bâti seul son succès. Mais à la fin on voit qu'en fait, son succès, il le doit quasi entièrement à quelqu'un d'autre, et qu'il est en quelque sorte construit sur un mensonge. Bon le film, conclut en disant que ce n'est pas vraiment important, que la légende prévaut sur les faits. Mais la question soulevée reste intéressante...
Citizen Kane
Orson Welles - États-Unis  - 1941 - 119 min
7.92
Moyenne
150
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Citizen Kane incarne toute la tragédie du rêve américain. C'est dans ce film que la critique est la plus violente. Car ce mythe est ici une volonté imposée avec violence. Et toute violence détruit. Un film sur la destruction de vies par le rêve américain.
L'Impasse
Brian De Palma - États-Unis  - 1993 - 144 min
7.91
Moyenne
148
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Carlito aspire vraiment au bonheur, à la tranquilité et à l'amour après un séjour en prison. Cela ne l'empêche pas d'être pris dans un engrenage enclenché par un personnage qui a voulu être gourmand et se faire plein de pognon. Tous deux payent le prix de leur vie
Les Lumières de la ville
Charlie Chaplin - États-Unis  - 1931 - 87 min
7.88
Moyenne
113
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Ma note
Toute l'oeuvre de Chaplin pourrait être vue comme un déni du rêve américain. Charlot, comme on l'appelle en France, est quelqu'un qui ne rêve pas de ce mythe. Il a beau vivre une existence misérable matériellement, mais être néanmoins un type bien. Ici, il se conduit comme un véritable saint. Il n'a rien matériellement, mais il va tout faire pour aider la fille aveugle, alors que ceux qui ont du pognon préfère le dépenser pour la débauche. D'ailleurs, il est intéressant de voir que deux personnages (l'aveugle, et le millionnaire quand il est bourré) ne le voit pas comme un misérable personnage, mais comme une personne riche, comme un vrai seigneur.
Seconds - L'Opération diabolique
John Frankenheimer - États-Unis  - 1966 - 106 min
7.85
Moyenne
53
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Suggéré par Siry
Les Affranchis
Martin Scorsese - États-Unis  - 1990 - 146 min
7.84
Moyenne
164
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Ma note
Les Affranchis ont réussi le rêve américain. Ils ont de belles bagnoles, de beaux costumes, des femmes qui les aiment, et plein de fric. Mais ce succès, ils le doivent au crime. Et ce succès est fragile : les trois protagonistes finissent mal, et se retrouvent avec rien, notamment parce qu'ils en voulaient plus.
La Porte du paradis
Michael Cimino - États-Unis  - 1980 - 217 min
7.79
Moyenne
79
Notes
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Ma note
Probablement le film le plus ambitieux dans la dénonciation de ce mythe, dans son aspect fondateur. On touche ici au racines de l'histoire américaine. Il montre tout simplement le mensonge de ce mythe, qui est impossible à réaliser pour les milliers de personnes émigrant aux USA avec ce mythe dans la tête
Casino
Martin Scorsese - États-Unis  - 1995 - 178 min
7.79
Moyenne
158
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Ma note
Un classique de la dénonciation du rêve américain, en touchant un lieu emblématique de ce mythe : Las Vegas, la ville où tout est possible, où chacun peut devenir riche en un claquement de doigt. Ben non, ce mythe n'existe pas. Le lieu est infesté par le vice. On a également un protagoniste qui réussit de manière malhonnête, mais qui perd tout, car sa position était fragile (et surtout ne dépendait pas de lui). De plus, la réussite le prive d'amour et détruit même la femme qu'il aime.
Le Trésor de la Sierra Madre
John Huston - États-Unis  - 1948 - 126 min
7.76
Moyenne
82
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Ma note
Huston est un autre cinéaste qui traite de l'échec du rêve américaine à assurer le bonheur. Ici, on a un groupe de rêveurs qui souhaitent devenir très riches grâce à du labeur commun. Pourtant, ce n'est pas une partie de plaisir, le groupe étant à un moment prêt à tuer un gars juste pour assurer leur succès. Ensuite, ces gars pauvres qui n'avaient pas grand chose ont perdu (pour certains) l'amitié, qui étaient à peu prêt le dernier truc qui leur restait. Finalement, ils ont tout perdu, mais le film se termine sur un rire : qu'est-ce qu'il est absurde ce rêve américain en fait!
There Will Be Blood
7.74
Moyenne
150
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Ma note
Un des plus grands films récents qui traite du sujet. Le sujet du film est un personnage qui réalise son rêve américain (confronté notamment à un autre gars dans la même situation). C'est assez intéressant, car ici pas de gangsters, mais on a un magnat du pétrole et un chef religieux. Et pourtant, ces hommes ne sont pas des hommes vraiment meilleurs que des criminels (même si le film apporte une tonne de nuances). Le pétrolier use de manipulation, de mensonges, se la joue bon seigneur, mais n'a aucune empathie envers personne, et on se demande si il est capable d'aimer quelqu'un. L'autre n'est intéressé que par le pouvoir sur les âmes, et peut utiliser le chantage pour arriver à ses fins (malgré qu'il soit un religieux devant prôner de bonnes actions). Ces hommes finissent maudits, et arrivent encore à se battre. Au final, l'un est proche d'une épave humaine, mais tue l'autre.
Le Kid
Charlie Chaplin - États-Unis  - 1921 - 68 min
7.73
Moyenne
109
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Ma note
Toute l'oeuvre de Chaplin pourrait être vue comme un déni du rêve américain. Charlot, comme on l'appelle en France, est quelqu'un qui ne rêve pas de ce mythe. Il a beau vivre une existence misérable matériellement, mais être néanmoins un type bien. Dans ce film, le contraste est fort entre lui, qui arrive à se conduire comme un vrai père, et la vraie mère du gamin, qui a choisit le succès, mais qui a abandonné son propre enfant, qui a été un obstacle à son existence.
Ève
7.72
Moyenne
94
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Eve a tout compris du rêve américain. Elle a compris que pour emprunter le chemin de la réussite, le talent n'est pas forcément nécessaire. Il faut simplement faire usage de pas mal de malhonnêteté. Mais, à la fin, elle a obtenu ce qu'elle a voulu (le succès et la gloire), mais cela ne lui procure pas le bonheur. Les autres personnages n'ont pas fait preuve d'ambition comme elle, mais ils sont restés amis, et heureux de ce qu'ils font.
Boulevard du crépuscule
Billy Wilder - États-Unis  - 1950 - 110 min
7.67
Moyenne
110
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Le film est raconté par un cadavre qui a raté son rêve américain. Il a voulu réussir en dépendant de quelqu'un d'autre, mais cette dépendance était une relation empoisonnée. Le cadavre est devenu tel quand il a voulu s'en défaire
Rosemary's Baby
Roman Polanski - États-Unis  - 1968 - 136 min
7.6
Moyenne
116
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Le film a une symbolique démoniaque, mais en somme lui aussi démythifie le mythe américain. L'éthique américaine dit que si on réussit, on doit surement être un homme bon. Mais on ne dit pas comment on doit réussir. Selon ce film, on peut peut tout simplement réussir dans la vie en servant le diable, en étant copain avec des Satanistes, et en faisant souffrir l'héroïne principale. Aucun problème avec cela, la société américaine permet cela (du moins ce que le film prétend).
Règlement de comptes
Fritz Lang - États-Unis  - 1953 - 90 min
7.59
Moyenne
64
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Le film montre notamment comment ce rêve américain peut être fragile. Une scène montre une famille idyllique telle une pub des années 1950. La scène d'après, la famille meurt dans un accident de voiture. Pour le protagoniste, rien ne sera comme avant, il est marqué par la violence et entraînera lui-même de la violence
Le Plongeon
Sydney Pollack - États-Unis  - 1968 - 95 min
7.54
Moyenne
67
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Ma note
Ce film est la désillusion du rêve américain, raconté de manière assez métaphorique. Un homme a toujours été préoccupé par une activité qui est d'arriver à un point idéal (surement la réussite). Depuis le début du film il voit son objectif, il semble atteignable mais si il est éloigné. Mais au fur et à mesure qu'il y arrive, les désillusions apparaissent et s'accumulent. L'arrivée à son but est très triste : le protagoniste a atteint son but, mais il se retrouve seul, car il a mis son objectif idiot (l'obsession des piscines peut sembler idiote) au premier plan, et a négligé ses relations avec autrui. Pour lui la réussite n'a pas abouti au bonheur, mais à une situation misérable
Révélations
Michael Mann - États-Unis  - 1999 - 157 min
7.51
Moyenne
100
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Le personnage de Russel Crowe est génial, car il décide de renoncer à son rêve américain (et putain c'est pas une chose facile), pour faire ce qu'il juge être juste, à savoir prévenir un risque pour la santé. Malgré l'adversité, il réussit, alors qu'il avait tout à perdre, et peut être rien à gagner.
Le Loup de Wall Street
Martin Scorsese - États-Unis  - 2013 - 180 min
7.5
Moyenne
157
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Scénario classique du démontage du mythe, pareil à Casino et Goodfellas. On a un héros qui arrive au rêve : succès matériel, pognon, bagnoles, grosse baraque et belles gonzesses. Mais c'est fait en étant tout à fait malhonnête (arnaquer d'honnêtes gens pas très futés, en leur agitant le mythe de l'enrichissement rapide sur leur yeux. Il le fait aussi en travaillant dans l'illégalité, mais aussi en créant de la richesse à partir de rien (juste des chiffres qui défilent) en prenant l'argent de gens qui l'ont gagné à la sueur de leur front. Sa chute sera spectaculaire, mais presque accidentelle encore une fois. Car le succès matériel est au fond assez fragile, même si il parait solide à ceux qui l'ont atteint.
American Beauty
Sam Mendes - États-Unis  - 1999 - 122 min
7.47
Moyenne
151
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Ma note
Peut être le film le plus intéressant sur le rêve américain de ces dernières années. Le film montre cette faillite du rêve américain, montrant qu'il ne peut aboutir au bonheur. Toutefois le film nous montre que malgré cette situation pourrie, le bonheur reste possible, qu'il existe un échappatoire.
The Social Network
David Fincher - États-Unis  - 2010 - 120 min
7.47
Moyenne
162
Notes
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Ma note
Mark Zuckenberg est un des modèles récent de réussite sociale. Jeune geek qui a réussit à être milliardaire. Mais, ce film montre que l'histoire n'est pas si belle que ça. Mark réussit en étant malhonnête, et passe sa réussite avant l'amitié et l'amour. Au final, il se retrouve tout seul avec sa réussite...
The Truman Show
Peter Weir - États-Unis  - 1998 - 103 min
7.47
Moyenne
161
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"Le rêve américain, étant tellement à des années de la réalité qu'il en devient un décor d'une émission de téléréalité."
Suggéré par Park_Chan_Wook
Les Infiltrés
Martin Scorsese - États-Unis  - 2006 - 151 min
7.43
Moyenne
157
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Ce film a beau être un remake d'un film asiatique, il soulève quand même quelques réflexions intéressantes sur le sujet. Il faut dire qu'il assez connoté religieusement (comme plusieurs films de Scorsese). Ici, le juste est quelqu'un qui, on peut dire, a dit adieu au film américain, il fait un sacrifice pour faire une chose juste, mais meurt en martyr. Le pêcheur, est le faux flic, le traitre. Lui, aspire au rêve américain (il regarde constamment sur le dôme d'or depuis son appart, qui représente la cible de son ambition. Il est malhonnête, et est constamment aidé par le chef criminel (alors qu'il voudrait progresser par ses propres forces), mais il progresse vers son ambition : promotions, argent, belle femme, bel appart. Mais au final, il perd amour, et se fait buter en dernière minute. Intéressant aussi que dans l'histoire, c'est le juste qui peut avoir des enfants, alors que le perso de Damon ne peut en avoir...
Les Forbans de la nuit
7.4
Moyenne
41
Notes
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Ma note
Un film noir qui dénonce le rêve américain. Après plusieurs coups foireux, un homme est sur le point de réussir, car il est écrasé par d'autres personnes, qui y ont vu un intérêt. L'homme perd la vie à la fin, alors qu'au fond il aurait pu vivre heureux avec la femme qui l'aime. Mais non, il a voulu absolument réussir avant tout!
Le Troisième Homme
Carol Reed - Royaume-Uni  - 1949 - 104 min
7.37
Moyenne
79
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Ma note
Ce film a beau être britannique, il traite d'une question américaine. Ce n'est pas un hasard si l'antagoniste est un américain. Convaincu de faire un acte génial (se comparant à des génies italiens du Moyen-Age), qui lui permettra d'acquérir argent et succès, il oublie les choses qui devraient lui procurer du bonheur. Avant, il avait un amour et un ami, mais il les trahit tous deux. Sans parler du fait qu'il use de moyens extrêmement malhonnêtes pour arriver à ses fins. Mais, à force de trop jouer, il finit mal. Encore un cadavre sur la route du rêve américain...
Le Grand Chantage
7.33
Moyenne
39
Notes
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Ma note
Son titre VO l'indique, le film s'intéresse au succès, but du rêve américain. Mais le film montre que pour obtenir ce succès, il faut être quelqu'un de plutôt immoral. Devenir un esclave d'homme puissant pour lui faire ses basses tâches, juste pour obtenir cette même place de puissance. Et le personnage est prêt à détruire des vies sans scrupules, à mentir comme on respire. L'intégrité? Qu'est-ce que c'est que ça demande le personnage de Lancaster?
Electra Glide in Blue
7.32
Moyenne
25
Notes
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Ø
Ma note
Suggéré par Lt-Schaffer
Foxcatcher
Bennett Miller - États-Unis  - 2014 - 134 min
7.31
Moyenne
72
Notes
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Ma note
"L'histoire vraie dans les années 90 d'un milliardaire égocentrique qui veut monter une équipe de lutte pour faire briller les USA avec un joueur médaillé déchu). Trump y fait d'ailleurs penser."
Suggéré par Siry
La Ballade de Bruno
Werner Herzog - Allemagne  - 1977 - 115 min
7.24
Moyenne
38
Notes
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Ø
Ma note
Le rêve américain vu de l'extérieur. Un plouc venu du fin-fond d'une ville allemande atterrit aux Etats-Unis, en espérant y obtenir la prospérité en faisant peu d'efforts. Il obtient (à crédit) une bonne vie, dans un premier temps. Mais par la suite, il va tout perdre, parce qu'il a continué à rêver son rêve, mais n'a pas vu la vraie réalité des faits : que la vie n'est pas si différente de celle en Europe, et qu'un plouc en Europe restera un plouc aux Etats-Unis
Scarface
Howard Hawks - États-Unis  - 1932 - 93 min
7.2
Moyenne
72
Notes
Ø
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Ø
Ma note
Le gangster d'ici n'est pas une lumière, mais il a compris comment se frayer un chemin pour obtenir le rêve américain. Il faut prendre le chemin de la violence armé d'une sulfateuse : il suffit de dézinguer tous les gros bras puissants. Une illustration que dans cette course à la réussite, l'aspect humain est pour peu de choses, et on ne se pose ps de questions sur qui est l'homme qu'on abat. Il est sur mon chemin, je le tue et j'en parle plus. Le problème, c'est qu'alors on peut agir exactement de la même manière envers soi aussi. C'est ce qui manque d'arriver au gangster, même si finalement la censure a jugé bon d'imposer dans le scénario l'arrestation du protagoniste par la police pour le faire juger comme il est de bon ton.
Quand la ville dort
John Huston - États-Unis  - 1950 - 112 min
7.2
Moyenne
49
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Ø
Ma note
Le prototype du film de braquage peut être vu comme une critique du rêve américain. Dans ce film un groupe de personnes toutes très talentueuses se forme pour voler des diamants pour devenir tous assez riches (la réussite passe par un crime). Ils réussissent leur coup, en faisant chacun tout très bien. Mais après, chacun d'entre eux va faire une erreur : l'un a voulu faire cavalier seul, l'autre n'a pas voulu lâcher prise, un autre s'est laissé aller à une faiblesse. Du coup, tout le monde a fini mort ou arrêté sur la route du bonheur (ou sur une prétendue route du bonheur). En témoigne la dernière scène, ou le perso de Hayden arrive presque à palper son bonheur, mais meurt juste devant. On pourrait mettre n'importe quel film de braquage "tragique" ici, autant mettre le prototype. Il est d'ailleurs intéressant de voir que les films de braquages actuels sont passé d'une conception d'échec vers une réussite du rêve. Etrange tournure des événements...
Scarface
Brian De Palma - États-Unis  - 1983 - 170 min
7.19
Moyenne
163
Notes
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Ø
Ma note
Un classique dans la dénonciation du rêve américain. Tony Montana est un gars obnubilé par ce mythe du rêve américain. Il veut atteindre ce rêve : être richissime, avoir la plus belle femme, la plus belle caisse, avoir le respect d'hommes puissants, et pouvoir se payer des choses extravagantes. Il l'obtient par la trahison, le meurtre, et en vendant de la drogue. Pourtant, il se fait trahir par ce mythe, impitoyable, et son rêve se termine dans un bain de sang.
Les Femmes de Stepford
Bryan Forbes - États-Unis  - 1975 - 115 min
7.18
Moyenne
14
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Ma note
Suggéré par blazcowicz
Aviator
Martin Scorsese - États-Unis  - 2004 - 170 min
7.17
Moyenne
112
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Ma note
Howard Hughes est une légende américaine, l'archétype de celui qui a réussit son rêve américain. Il a voulu des choses folles, et il a réussit en faisant des sous, et travaillant dur. Mais, en ayant voir qui était réellement ce personnage, on pourrait se demander si on a vraiment envie de devenir un type pareil? La, ce sera un peu a chacun a penser a une réponse. Personnellement, son mode de vie me rebute.
Meurtre sous contrat
Irving Lerner - États-Unis  - 1958 - 81 min
7.07
Moyenne
14
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Ma note
Dans un premier temps, ce film montre une version un peu cynique du rêve américain. Le protagoniste veut une jolie maison près de la rivière. Sauf que pour atteindre ce succès matériel honnêtement, il lui faut travailler 23 ans. Pourquoi se casser le cul quand on peut travailler de manière malhonnête, en tuant des gens. Mais les conséquences de ce choix ne sont pas nécessairement bénéfiques. La majorité du film suit un job qui tourne mal. Les choses y vont de mal en pis pour notre personnage, et il finira buté dans un égout... près d'une rivière.
Le Fauve en liberté
Gordon Douglas - États-Unis  - 1950 - 102 min
7
Moyenne
2
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Ma note
James Cagney joue un truand qui fait la démonstration que l'on peut réussir en étant un odieux connard, qui utilise tous les moyens malhonnêtes pour arriver à une réussite sociale : mensonges, manipulation, trahison, meurtres... Bon, cette réussite reste toujours quelque chose de fragile, et le personnage finit abattu par une des personnes qu'il a manipulées
Lord of War
Andrew Niccol - États-Unis  - 2005 - 122 min
6.86
Moyenne
133
Notes
Ø
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Ø
Ma note
Le protagoniste part de zéro et devient un homme très riche. Mais il le fait dans un business malhonnête, qui sème la mort. Il tue lui-même un concurrent. Et de plus, il est protégé par son pays malgré ses crimes. A la fin, il reste riche et puissant, mais il ne peut atteindre son bonheur, puisque sa femme le quitte et que son frère meurt.
L'Ennemi public
William A. Wellman - États-Unis  - 1931 - 83 min
6.83
Moyenne
30
Notes
Ø
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Ø
Ma note
Encore un gars qui réussit son rêve américain, il devient riche assez vite, ce qui lui permettra de s'acheter de beaux costumes et de sortir avec de belles filles. Le gars est bien content, et pour lui amitié, famille et amour sont bien inutiles. Mais sa réussite reste fragile, et il perd tout à la fin pour mourir pathétiquement là où il aurait pu finir heureux (s'il l'avait voulu)
Les Noces rebelles
Sam Mendes - États-Unis  - 2008 - 119 min
6.81
Moyenne
87
Notes
Ø
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Ø
Ma note
Le couple du film est l'illustration parfaite du couple d'Américains qui a réussit. On dirait une pub des années 50 vantant l'American Way of Life. Pourtant, cette réussite matérielle n'empêche pas le drame, et l'impossibilité d'accéder au bonheur. Pire, c'est cette réussite, et le confort qui va avec qui provoque le conflit, et la tragédie qui s'ensuit.
American Gangster
Ridley Scott - États-Unis  - 2007 - 157 min
6.81
Moyenne
99
Notes
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Ø
Ma note
Autre pitch classique : un homme réussit ce rêve américain. Il montre qu'il est possible de réussir et devenir très riche très vite, mais en vendant de la drogue, et en vivant du crime.
Prête à tout
Gus Van Sant - États-Unis  - 1995 - 106 min
6.72
Moyenne
30
Notes
Ø
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Ø
Ma note
Comment réaliser son rêve américain rapidement? La protagoniste du film le fait en manipulant un adolescent pour le pousser à assassiner son mari. Pourquoi? Parce que celui-ci était un obstacle à son succès et à son ambition. Et puis, elle pourrait en profiter pour être encore plus connue. Et elle réussit. Mais bon, elle se fait quand même descendre à la fin...
Les Fous du roi
Robert Rossen - États-Unis  - 1949 - 110 min
6.7
Moyenne
5
Notes
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Ø
Ma note
Le film raconte l'histoire d'un bête fermier entamer une ascension politique jusqu'au poste de gouverneur d'un Etat américain (et avec des ambitions encore plus grandes). Toutefois, le film met beaucoup l'accent (de manière pas toujours subtile) sur la corruption morale du personnage (à force d'utiliser la corruption dans sa carrière). Le personnage a réussi son coup à la fin du film, mais en devenant un odieux connard.... et en se faisant assassiner ni plus ni moins
Les bas-fonds de Frisco
Jules Dassin - États-Unis  - 1949 - 94 min
6.6
Moyenne
10
Notes
Ø
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Ø
Ma note
Un intéressant contexte, pour une histoire pas forcément originale : un conducteur de camion transporte le bien le plus innocent (des pommes) pour gagner honnêtement sa vie pour espère se marier (aboutir au bonheur et à la réalisation du rêve américain. Mais le milieu du marché est perfide et San Francisco est baignée dans une atmosphère malhonnête, avec ses vautours et charognards venant briser les vies des gens honnêtes. J'ai quand même hésité à mettre ce film ici : le film se termine sur un happy ending un peu inattendu pourtant, et le héros obtient argent et amour à la fin. Pourtant, il était proche de tout rater...
Moi, Tonya
Craig Gillespie - États-Unis  - 2017 - 120 min
6.59
Moyenne
51
Notes
Ø
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Ø
Ma note
"Biopic sur la patineuse qui avait toute la technique sportive pour avoir la gloire et se réinventer, mais qui est restée à sa classe white trash par la magie du déterminisme sociale (je simplifie mais l'idée c'est ça)."
Suggéré par Siry
Le Petit César
Mervyn LeRoy - États-Unis  - 1931 - 79 min
6.55
Moyenne
21
Notes
Ø
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Ø
Ma note
Un film de gangster où une petite frappe parvient à devenir très puissant en très peu de temps. Mais, sa chute est tout aussi rapide. Chute qui coïncide d'ailleurs avec la perte d'un ami, qui était un obstacle à l'ascension du petit César. Ce dernier finit minablement arrêté et tué.
American Psycho
Mary Harron - États-Unis  - 2000 - 102 min
6.43
Moyenne
131
Notes
Ø
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Ø
Ma note
Une critique au vitriol de la réussite matérielle. Le protagoniste est un trader, représentant une certaine élite. Mais c'est un individu menant une existence vide de sens et d'humanité. Les femmes sont des objets sexuels, les autres personnes sont inférieures. Le mode de vie est le plus superficiel possible, l'important est de paraitre le plus riche possible. Ce film pour demander : finalement le rêve américain, est-ce se déshumaniser?
L'Enfer de la corruption
Abraham Polonsky - États-Unis  - 1948 - 78 min
6.38
Moyenne
12
Notes
Ø
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Ø
Ma note
Un des nombreux films noirs dénonçant le rêve américain. Dans ce film, le protagoniste chute, parce qu'à choisir entre développer sa réussite et la vie de son frère (+l'amour d'une fille), il a choisit son frère. En somme, choisir la bonne voie vers le bonheur nous fait chuter.
The Other Side
Roberto Minervini - Italie  - 2015 - 92 min
6.36
Moyenne
7
Notes
Ø
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Ø
Ma note
"Documentaire sur des rednecks de Louisiane, un coin gangrené par la drogue et comme laissé-pour-compte, avec un des nombreux groupes survivalistes dont l'idée est qu'il y aura une autre Révolution dans le pays."
Suggéré par Siry
Ragtime
Milos Forman - États-Unis  - 1981 - 155 min
6.29
Moyenne
17
Notes
Ø
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Ma note
Ce film traite, entre autres, du rêve américain. Celui-ci existe, mais pas pour tout le monde. Le réalisateur juif, grâce à son talent et à ses efforts réussit son rêve, devient riche et obtient la femme fortunée. Mais à cause du racisme, ce n'est pas possible pour le musicien noir, qui malgré son talent et ses efforts ne peut progresser dans l'échelle sociale, car alors (et peut être toujours aujourd'hui), les hommes ne sont pas égaux dans la réalisation du rêve américain.
Layer Cake
Matthew Vaughn - Royaume-Uni  - 2004 - 105 min
6.26
Moyenne
48
Notes
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Ma note
Layer Cake est un film typiquement british, mais la thématique reste américaine, car le rêve américain s'exporte (ainsi que ses critiques). Dans ce film, le protagoniste sans nom espère devenir quelqu'un dans l'univers de la drogue. Meurtres trahisons, tout arrive dans cette situation, et il réussit presque par accident, grâce à de bonne relations. le final insiste beaucoup sur l'extrême fragilité de la réussite du rêve. Il a tout dont on peut rêver, mais se fait buter tout bêtement...
Le Talentueux M. Ripley
Anthony Minghella - États-Unis  - 1999 - 139 min
6.15
Moyenne
54
Notes
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Ma note
Mr. Ripley veut vraiment réussir dans la vie. C'est absolument important pour lui. Il envie les riches, surtout son copain qui n'en fout pas une mais qui a la belle vie avec l'argent de son paternel. Lui aussi il veut du pognon, des belles filles car il a le talent pour la réussite. Mais, il réussit par accident : il tue sans le vouloir son ami, mais plutôt que d'être honnête, il préfère saisir sa chance pour réussir. Et cette chance n'est saisissable qu'en étant extrêmement malhonnête : il est un menteur né. Et il devra également continuer à faire des crimes pour rester dans sa course à la réussite. Pour Ripley, la réussite sociale, qu'il le veuille ou non est indissociable de la malhonnêteté, il est pris dans un tel engrenage qu'il ne peut faire autrement...
J. Edgar
Clint Eastwood - États-Unis  - 2011 - 137 min
5.92
Moyenne
69
Notes
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Ma note
le film soulève une question intéressante : le rêve américain est-il mythomane? Edgar Hoover est dans ce film quelqu'un qui a bati sa propre légende comme quelqu'un qui a réussit à partir de zéro grâce à ses exploits personnels. Or, beaucoup de ces exploits sont batis sur des mensonges.
Cartel
Ridley Scott - États-Unis  - 2013 - 117 min
5.77
Moyenne
64
Notes
Ø
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Ma note
Le protagoniste de ce film avait réussi : célébrité, belle femme qui l'aime, argent, belle voiture. Mais non, il en veut toujours plus, il veut encore réussir, et viser encore plus d'argent, peut être convaincu qu'il aboutira à plus de bonheur. Il va se heurter à un milieu féroce et destructeur. Il finira par tout perdre : argent, amis, femme, bagnole, sécurité pour finir comme un rat de caniveau maudit à jamais.
Statistiques
Longs
56
Films
56
Notes
7.25
Moyenne
Vous
Commentaires
29/11/2013 20:59:28
Je te suggère Electra Glide in Blue !
 
29/11/2013 21:03:42
Merci pour la suggestion!

Sinon, si vous voulez suggérer des films, faites-le, mais avec un petit commentaire expliquant pourquoi il dénonce le rêve américain :ok:
 
30/11/2013 16:11:01
Très sympa en effet !
 
30/11/2013 20:09:03
Merci! :ok:
 
02/12/2013 23:37:52
Merci pour la liste !

Bizarrement, j'ai ressenti ça pour "Blow Out" aussi.
 
03/12/2013 00:26:38
Alphataurus ,pourquoi le rêve américain pour Blow Out?
 
10/12/2013 03:29:03
Je ne sais pas, c'est un sentiment étrange ; il n'a rien à voir formellement et thématiquement parlant avec les films de ta liste qui démystifient totalement le mythe du rêve américain. Cependant, c'est bizarre : j'ai beaucoup d?empathie pour l'histoire de ce gars un peu paumé mais néanmoins pas dénué de talent, qui lutte contre diverses institutions pour faire éclater la vérité au grand jour qu'il est le seul à connaître. Et la fin : ce plan de cri de détresse devant le drapeau américain m'a littéralement donné des sueurs froides ; exit l'espoir, c'est l'Etat qui prévaut que tu le veuilles ou non.

Dans le même genre, j'ai ressenti ça aussi pour "Phantom of The Opera" : les institutions artistiques qui chient littéralement dans la gueule de Winslow.

Certes, c'est un peu tiré par les cheveux et ils n'ont rien grand-chose à faire dans ta liste (je te remercie par ailleurs pour cette superbe liste ; j'en suis fan et il me reste encore quelques films à voir car j'adore ce thème), mais ils ont quand même le mérite d'avoir un côté démystification. :)
 
10/12/2013 11:38:52
Ouais, c'est assez intéressant de voir ça comme ça, que finalement un gars doué mais seul est un peu comme impuissant dans une situation où il peut faire la différence. Mais je pense que la thématique est un peu différente tout de même, même si il y a des points communs avec les films démystificateurs du rêve américain.

Bon après c'est cool de donner ses idées et réflexions sur le sujet ici! :ok:

(sinon, j'ai pas vu Phantom of the Opera, je sais pas confirmer :non: )
 
05/01/2014 14:54:47
Le dernier Scorsese a tout à fait sa place ici !
 
06/01/2014 13:19:50
Je vais attendre de le voir d'abord! :) Comme ça je pourrai écrire un petit texte