Je plussoie.
Dustin Hoffman réussit à allier férocité caustique et vulnérabilité pathétique.
Un précurseur nietzschéen tout en verve broyé par la glaciale ordalie des pisse-froid.
Message éditéC'est le seul grand film de Bob Fosse qui me reste, alors ça m'attriste un peu que le film serait plus porté par l'acteur que par la réalisation
Je "plussoyais" sur Dustin.
Bob Fosse s'en sort assez habilement avec son enchevêtrement narratif : on n'est pas perdu et la tonalité tragique est saillante derrière le masque de la vitalité, parfois grimaçante. Il faut d'ailleurs aussi souligner le jeu de Valérie Perrine touchante de pétulance et de fragilité.
D'accord, ça me rassure tout ça !