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Commentaires
marcosocho
11/04/2015 18:12:53
La première partie
quasiment muette qui nous montre tout avec les images et qui crée une ambiance frappante
est assez virtuose et belle. Mais ensuite la suite est beaucoup plus traditionnelle et assez ennuyeuse pour moi. Le réalisateur ne se sentait probablement pas de raconter toute une histoire de la façon du début. C'est dommage parce qu'à ce moment là le film perd grandement de l'intérêt.
ineusleau
28/08/2017 01:09:07
Un coup de cœur sur le debut jusqu'à la partie relationnelle et la fin. Peut être que la musique n'avait pas besoin d'être autant un leitmotiv mais bon, ça reste très expressif.
J'ai pas eu la même puissance pour la relation, mais ça reste très agréable. Si l' inexplicable est filmé, l'incompréhension de la gentillesse n'est pas autant : On ne rappelle pas assez l'humanité du "père", le personnage a du mal à se démêler de sa fonction de héros, on apprecie trop de le voir aussi raisonnable et héroïque.
De même pour la responsable d'hôtel.
Alors oui, on peut dire que c'est devenu "traditionnel" par la suite, les personnages finissent par parler et avoir des dialogues calmes axés sur la prononciation, une forme de parole qui m'a rappelé Harry un ami qui vous veut du bien.
Et la tension de l'hôtel hyper ordonné visuellement m'a remémoré quelque part Nocturama.
Plus précisément on sent clairement une "école française". Mais c'est pas le problème, c'est qu'il y a trop de sympathie. Et même pour le boss, même si c'est plaisant, c'est vraiment là qu'on retrouve le point de ce beau film.
Le film cherche trop à créer de la poésie, c'est souvent réussi, on a une délivrance, et nos quelques interrogations finissent par s'envoler : on fait confiance en ce qu'on voit et on se laisse bercer.
Mais pas tous le temps.
Si les scènes d'amour sont charmantes, je suis un peu sceptique de ce "Tu es beau, très beau" alors plus enjolivé que révélateur. Comme c'est le genre de phrase typé glauque dans cet environnement, j'ai le sentiment que le film nous ment à ce moment-là, préférant coûte que coûte à rendre ça poétique, plutôt que toucher à une vérité.
Malgré tout ça, c'était formidable et apaisant à regarder. Peut être trop apaisant.
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