Noisette arf j'étais sûr de me faire épinglé
La puissance du film réside dans son groupe d'héroines, perdues dans une steppes déserte d'un monde que l'on suppose être un futur post-épidémique. Ce groupe exhale de féminité même en ambiance survivaliste, sans tomber dans la guimauve : de la bonne femelle coriace Ca m'a fait penser à 28 jours Plus Tard côté atmosphère, à la fois poignant et prenant.
En fait je le trouve un peu trop court pour pouvoir s'attacher à tous les personnages (et les dialogues de la seconde partie sont un peu faibles), mais peut être que ça évite aussi au film de sombrer.
Pour ce qui est de la ressemblance avec Tarkovski, je ne peux pas me prononcer, j'en ai pas vu assez