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Chungking Express
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-
1994
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Jia Zhangke
Chine
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2004
2h23
Shijie
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Commentaires
Garrincha
07/06/2013 14:03:37
Quelques idées qui ne fonctionnent pas vraiment (les transitions en dessins animés, bof bof), mais quand Jia Zhengke se met à ce qu'il sait faire de mieux, c'est-à-dire filmer les petites mains invisibles et méprisées de l'essor économique chinois, à capturer leur quête de bonheur dans un monde où leur vie ne vaut presque rien, ça devient grand.
Dommage que le plus beau personnage, celui de la danseuse russe, ne soit présent que pendant quelques scènes ; pas négligée par le regard du cinéaste, mais je pense qu'il aurait pu centrer tout le film sur elle, d'autant qu'elle incarne à elle seule l'essence de cette mondialisation déshumanisée, cannibale.
Moriarty
07/06/2013 14:10:53
Un film qui donne une image intéressante de la Chine d'aujourd'hui. Personnellement, je suis assez fan de la manière de filmer de Jia Zhangke, avec un côté documentaire par moments.
Certes, il y a certaines choses qui ne sont terribles (les passages en animation notamment) mais globalement j'ai passé un bon moment
belenos
07/05/2014 00:27:08
J'ai aimé le sens de la composition et du cadrage du réalisateur.
Ca a vraiment la classe, avec de belles lumières.
Ainsi que les personnages attachants et le cadre même si l'histoire ne m'a pas passionnée outre mesure.
Garbage
11/06/2015 18:00:49
Le cadre est sympa, ce serait un peu le pendant du Disneyland de des Pallières : montrer un peu l'arnaque de l'imaginaire, et la difficulté de vivre de ceux qui font vendre cet imaginaire, surtout quand c'est un petit groupe avec les inconvénients de la proximité.
Après c'est vraiment très (trop) long, je me demande encore comment le réalisateur a pu tenir 2h15 avec ça c'est un peu miracle, pour autant c'est pas forcément ennuyeux. Il y a une chose bien dans ce film c'est qu'ici Zhangke fait en quelque sorte son film "urbain sur la jeunesse", comme l'ont fait Lou Ye, Zhang Yuan, Yu Li, Wang Xiaoshuai ou d'autres encore qui est assez caractéristique de la 6ème génération alors qu'avant et après dans la fiction il n'a pas choisi ce procédé, donc c'est sympa surtout que la photo est pas mal.
Comme l'ont mentionné certains les passages en animation sont pas géniaux, surtout que la lenteur du film (comme toujours chez Zhangke) justifie le défi du réalisme, donc à quoi bon être hyper-réaliste, laisser le temps à des histoires de se développer si c'est pour à quelques moments faire ça ? C'est dommage. Un peu comme Still Life et les échappées surnaturelles, c'est à contre-courant et j'adhère pas.
Par contre la BO du film est superbe, jamais de mémoire la musique d'un film de ce réal aura été si réussie (et contribue à l'ambiance "jeunesse urbaine" dont je parlais).
VouMi
17/04/2020 01:27:01
Je me suis bien fait chier
lightcorsica
15/12/2023 23:10:48
Avis
In Jia Zhangke’s “The World,” the cinematic canvas unveils a poetic waltz of contrasts. It gently captivates with its raw authenticity while unabashedly exposing a harsh and unrelenting reality. The film portrays a separate world within the perpetually fog-laden and artificially constructed amusement park, metaphorically depicting the disconnect of contemporary China, particularly its proletarian class, from the rest of the world. Like souls adrift in a melancholic solitude, they remain severed from the very essence of worldly existence.
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