Le talent de Daneliya, c'est qu'à travers ces petites historiettes a priori triviales et anodines, il arrive vraiment à capter quelque chose d'essentiel, de manière parfois laborieuse comme dans celui-ci qui m'aura passablement emmerdé pendant une heure avant de me conquérir sur la fin, mais en fin de compte, il y a toujours ce déclic.
A noter que Leonid Kuryalov n'est jamais aussi bon que dans une tonalité légèrement dramatique comme c'est le cas à la fin de ce Afonya.
A noter que Leonid Kuryalov n'est jamais aussi bon que dans une tonalité légèrement dramatique comme c'est le cas à la fin de ce Afonya.