Je suis assez curieux et friand de que propose cette nouvelle écurie (lol) de l'actionner français. Il n'est pas étonnant de retrouver derrière la caméra l'un des techniciens de Balle Perdue. Et c'est plaisant de pouvoir le découvrir en salle. Certainement que la sponso Alpine a bien aidé également. Et force est de reconnaître qu'un certain artisanat made in France est en train de se développer et de gagner en maturité dans le domaine. Les séquences d'action n'ont pas à rougir des blockbusters américains qui abusent de CGI et fonds vert. C'est vraiment bien monté et efficace. On lorgne plus du côté d'un Rush de Ron Howard que d'un From Paris with love de l'époque EurapoCorp en terme de lisibilité dans l'action.
Néanmoins, j'ai beau être généreux et friand de ce type de films popcorn assumés, il faut bien reconnaître que le film ne brille pas de par son scénario ou ses dialogues. Alban Lenoir en fils pourri gâté régale dans son surjeu mais hélas dénote dans cette série B peut-être trop sérieuse pour son bien. Je ne connaissais pas Paola Locatelli, influenceuse à la mode qui passe sur grand écran. La transition n'est pas aussi horrible que l'on pouvait l'imaginer. Elle est plutôt juste. La trajectoire de son personnage est par contre très prévisible. Et le film abuse de "just in time" sur le final pour la suspension d'incrédulité. "Mince le départ sur la grille est dans une heure" pfff
Par contre le film a le bon goût de mettre en lumière la formule 3 pour rendre crédible cette ascension et apporter un peu de nouveauté. Un écueil récurrent des américains qui ne mettent qu'en lumière "l'élite", quitte à réécrire l'histoire comme dans Gran Turismo. Bref un bon divertissement à la française. Vivement que cette nouvelle équipe de techniciens aguerris engage de bons scénaristes pour rivaliser avec les meilleures productions de l'oncle Sam.
Je suis assez curieux et friand de que propose cette nouvelle écurie (lol) de l'actionner français. Il n'est pas étonnant de retrouver derrière la caméra l'un des techniciens de Balle Perdue. Et c'est plaisant de pouvoir le découvrir en salle. Certainement que la sponso Alpine a bien aidé également. Et force est de reconnaître qu'un certain artisanat made in France est en train de se développer et de gagner en maturité dans le domaine. Les séquences d'action n'ont pas à rougir des blockbusters américains qui abusent de CGI et fonds vert. C'est vraiment bien monté et efficace. On lorgne plus du côté d'un Rush de Ron Howard que d'un From Paris with love de l'époque EurapoCorp en terme de lisibilité dans l'action.
Néanmoins, j'ai beau être généreux et friand de ce type de films popcorn assumés, il faut bien reconnaître que le film ne brille pas de par son scénario ou ses dialogues. Alban Lenoir en fils pourri gâté régale dans son surjeu mais hélas dénote dans cette série B peut-être trop sérieuse pour son bien. Je ne connaissais pas Paola Locatelli, influenceuse à la mode qui passe sur grand écran. La transition n'est pas aussi horrible que l'on pouvait l'imaginer. Elle est plutôt juste. La trajectoire de son personnage est par contre très prévisible. Et le film abuse de "just in time" sur le final pour la suspension d'incrédulité. "Mince le départ sur la grille est dans une heure" pfff
Par contre le film a le bon goût de mettre en lumière la formule 3 pour rendre crédible cette ascension et apporter un peu de nouveauté. Un écueil récurrent des américains qui ne mettent qu'en lumière "l'élite", quitte à réécrire l'histoire comme dans Gran Turismo. Bref un bon divertissement à la française. Vivement que cette nouvelle équipe de techniciens aguerris engage de bons scénaristes pour rivaliser avec les meilleures productions de l'oncle Sam.