Moi qui espérais en voyant le titre sur la page d'accueil qu'il s'agisse d'un biopic sur Kimi Räikkönen... quelle déception.
Je sais pas d'où sortent les captures grisâtres de la galerie mais elles rendent pas honneur à la chouette photo lumineuse et contrastée du film.
Je vais rester dans la superficialité technique mais purée la qualité de l'encodage HBO Max + cette photo au cachet cinémà, c'est l'antithèse des prods Netflix qui sont toutes nivelées par le même algorithme d'encodage foireux et un débit aux fraises (le pire des grosses plateformes SVOD et ça se voit).
Histoire de faire mon chieur : des captures colorées.
Effectivement c'est plus agréable à regarder!
Où est-ce qu'on peut voir ce film ? On est d'accord que HBO max n'existe pas en France ou j'ai raté quelque chose ?
Ah oui c'est clairement plus joli. Je pense que le problème viens du site que j'utilise pour rogner les screens, watermarkly. Ils ont changé le site il y a pas longtemps et j'avais déjà remarque un problème similaire.
Vous utiliser quel site/logiciel pour rogner, redimensionner et/ou compresser?
Moi je fais tout avec Irfanview. Mais globalement t'auras toujours plus de contrôle sur logiciel qu'en ligne sur un site.
Par contre je pense que ça vient plutôt de ton rip, parce que je viens de faire le test et Watermarkly ne modifie pas la colorimétrie des images;
Et pour répondre à Alvy : en Albanie.
Dirty-Flichty: Je peux aller me faire foutre en gros...
Hal: Perso je fais ça sur "aperçu" sur mac.
Mon rip est coloré aussi j'ai du trop compresser je pense.
Tu as fais comment pour retrouver les 9 screens identiques, un algorithme du futur?
Un sympathique riff sur des thèmes Hitchcocko-DePalmiens (Koepp avait fait le scenario de L'impasse, Mission: Impossible et Snake Eyes) adaptés au monde contemporain, mais sans grande profondeur. Je saurais pas dire pourquoi un personnage comme celui de Craig Watson dans Body Double qui a zéro charisme et une intériorité (volontairement) vulgaire arrive à plus m'impliquer que Zoë Kravitz ici, mais j'ai l'impression qu'on reste toujours en surface (là ou paradoxalement le coté superficiel chez DePalma rebondit très vite vers des choses très profondes). Peut être parce que Soderbergh justement n'ose pas plonger à fond dans le délire comme le font les grands DePalma ou c'est la mise en scène qui prend le pas sur tout le reste et ou le coté ultra dramatisé (musique à fond, ralentis, plans complexes) prend le relais de l'absurdité des scenarios et/ou la faiblesse des caractérisations (et quand en plus le scénar et la caractérisation sont bons comme dans L'impasse...) En tout cas le film est bien construit, appréciable pour sa brièveté et l'efficacité de Soderbergh, mais ça a aussi un coté thriller du dimanche soir assez oubliable, je ne vois pas de grande création (une séquence, un personnage) qui rendrait le film singulier, là c'est l'ambiance technologie-pandemie qui le fait se démarquer, mais c'est un peu de l'enrobage. Je boude pas non plus mon plaisir sur des petits films comme ça, mais je voulais voir un vrai passage de relais entre DePalma (dont les derniers films, aussi bancals soient-ils, tentaient aussi de prendre en compte les technologies contemporaines) et Soderbergh, et c'est pas vraiment ce qui se passe.