Notes
Aguirre, la colère de Dieu
Werner Herzog - 1972
Quand les Yakuzas parlent : Kisssama BURLULAAAA.
Sinon c'était très chouette et j'aime bien la tournure que prennent les évènements surtout concernant le personnage de Koji Yakusho dans la dernière partie alors que le personnage se dirigeait dans le sempiternel portrait du flic bourru et pourri mais avec un grand cœur au fond ce qui se passe m'a fait ravaler mon appréhension toute faite, agréable comme rebondissement.
Mais je le préfère chez Masato Harada ou Kiyoshi Kurosawa