Comme toujours chez Swanberg, c'est bancal, parfois inepte, souvent anticinematographique.
Mais il rattrape ça avec sa volonté farouche de filmer, de magnifier sa génération en scrutant un quotidien fait de médiocrité et de jubilation, et de ne pas reculer devant une représentation crue du sexe : jamais sale, toujours juste. Un peu à l'image de ses films.
Mais il rattrape ça avec sa volonté farouche de filmer, de magnifier sa génération en scrutant un quotidien fait de médiocrité et de jubilation, et de ne pas reculer devant une représentation crue du sexe : jamais sale, toujours juste. Un peu à l'image de ses films.