Je crois que c'est l'un des films du Festival 17 pour lequel on aurait pas pu espérer mieux, du vrai Genre bien fait avec du beurre dedans, et une production exceptionnelle (c'est mon CL d'Or et mon prix de la musique, tout de même une compo originale au clavecin !) ce qui est assez rare dans l'érotisme, même quand c'était à la mode vers cette époque. Borowczyk s'amuse à démonter les ruines de la bourgeoisie consanguine et bestiale, en fourant un maximum d'idées géniale pour qu'on ne s'ennuie pas (le prêtre et ses deux enfants de chœur ) et restera une expérience marquante, je vais m'attaquer très vite à ses autres films !
Je reste curieux du reste aussi, parce qu'il y a des choses intéressantes avant que ça tombe dans l’obscénité crasse et complaisante. Borowczyk a un certain talent pour filmer les visages et les corps, notamment. Du coup, si je continue sa filmo, je pense plutôt me tourner vers ses premiers films, en espérant que ce qu'il peut y avoir de beau dans son cinéma ne soit pas enseveli de laideur (et de bêtise) comme ici. Message édité
