De piètre réputation, et après avoir enchaîné la trilogie originale (et elle, réputée), j/avais des craintes en lançant le film. D/autant plus qu/on ne m/en parlait que d/une grosse critique sociale bien comme je les déteste ("vous voyez, c/est le reflet de votre société sale riche, où vous nous oppressez. PS: J/ai touché un cachet de 2 millions pour faire ce film "). Et comble de tout, je m/apperçois dès la première scène que l/acteur principal est le même que celui qui tient le rôle majeur de Mentalist (que je ne blaire pas). Cerise sur le gâteau, je dois le regarder en VF. Autant dire que ça s/annonce mal...
... et pourtant pas tant que ça! Toutes mes craintes citées ci-dessus ont été démenties et j/ai eu un épisode dans la lignée directe des trois premières opus, avec toujours cette gradation dramatique dans lequel le mort-vivant prend de plus en plus de place, au détriment de l/humain.
Très satisfait par le film, et par le background (critiquant effectivement indirectement certaines de nos sociétés, mais de façon sous-jacente, pas aussi voyeuriste qu/on me le décrivait).
Il tient largement la route face à ses ancêtres, à mon humble avis bien entendu.
Un peu décevant, un début très classique, limite banal.
Un film de zombie sans réel consistance, malgré une réflexion proposée (c'est ce que j'ai retiré du film, en tout cas) sur la civilisation. ( notamment -surtout- l’accession des zombies à "leur" civilisation -cf : la dernière réplique-)
Une musique pas exceptionnelle.
Un petit film bien sympathique à voir (seul/avec sa moitié) à quatre du matin (ou entre potes pour rire).
Je me suis pas ennuyé.
A prendre comme un navet ou un nanar mais en tout cas Romero est tombé bien bas avec ce film. Rien à voir avec ces chefs d’œuvres de série B, ce film est digne d'un Michael Bay.
L ensemble est naze mais ca fourmille de belles choses. Belles dans le sens où on a une main déchirée en deux sous un projecteur, un jeu de reflet dans l eau de la tour ou du skateboard dans l eau ou Leguizamo qui shoote un zombie en se basant sur l ecran de video surveillance... et tout le côté délirant de zombie fait plaisir, c'est ce que Romero a l air de raffoler aussi, les zombies musiciens du plan de début ou le bar zombie etc.
Y a beaucoup beaucoup de truc trop con pour se laisser embarquer mais on se fait plaisir parce que ça arrive à créer un truc, à stimuler l espèce de critique de société caricaturale et blablabla. Par exemple, Dennis Hopper a un perso qui lui va très bien et qui reussit à fonctionner malgré quelques couilles.
On est bien loin des 3 premiers opus de zombies, tout comme avec Diary of the dead, mais ça procure quand même un plaisir. C est pas une purge. Faut juste subir Simon Baker, mais là encore Romero arrive à modeler un perso viable avec, qui est très creux et vide mais qui réussit à ne pas pourrir le film ou être insupportable.
Du coup j ai bien envie de voir le dernier de la saga de zombie, Survival Dead. (et aussi les bons Romero, faut pas que j oublie, genre Martin)
Simon Baker déjà, il a aucun charisme comparé aux autres héros des films de Romero.
Et la manière comment l'univers se construit qui manque d'une étincelle pour ne pas sentir le côté meh, alors que tout le potentiel et le plaisir est là.Message édité
... et pourtant pas tant que ça! Toutes mes craintes citées ci-dessus ont été démenties et j/ai eu un épisode dans la lignée directe des trois premières opus, avec toujours cette gradation dramatique dans lequel le mort-vivant prend de plus en plus de place, au détriment de l/humain.
Très satisfait par le film, et par le background (critiquant effectivement indirectement certaines de nos sociétés, mais de façon sous-jacente, pas aussi voyeuriste qu/on me le décrivait).
Il tient largement la route face à ses ancêtres, à mon humble avis bien entendu.