Notes
Crépuscule à Tokyo
Yasujirô Ozu - 1957
Le film peine à captiver comme sa réalisation peine à s'extraire du muet: il m'a semblé voir le produit abatardi d'une transition vers le parlant, qui accumulait d'avantage les faiblesses des deux formes de cinéma que leurs forces (paradoxalement, le fait qu'il incarne un stade de cette métamorphose est peut être aussi son principal intérêt).
Ah, et le personnage de Shalom, vieil et vilain usurier avaricieux... subtil et intemporel!